11 avril 2008 12:06
L’homme d’affaires, devenu « philanthrope » grâce aux milliards gagnés
au détriment des citoyens Britanniques et Thailandais en spéculant
contre leurs monnaies, juge que la crise, loin d’avoir atteint son
plein effet, va encore s’aggraver. Pour lui, la méfiance régnant à
l’heure actuelle sur les marchés ne se dissipera pas avant que les
autorités n’aient régulé les instruments financiers.
Commentaires