L'enlèvement dans la nuit de jeudi, au nez et à la barbe de 350 gendarmes et militaires nigériens, de sept salariés d'Areva et de Vinci sur le site d'Arlit au Niger, où le géant français du nucléaire exploite une mine d'uranium, met les entreprises étrangères travaillant dans le Sahel dans une situation extrêmement délicate vis-à-vis de leurs salariés expatriés.
via www.latribune.fr
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