Faute d’une redistribution des droits de vote au FMI, les émergents devraient créer leur propre institution, par Zhou Shumu
« J’estime que si les pays en développement n’arrivent pas à augmenter leur part dans le FMI, ils devront établir un FMI qui leur appartiendra, ceci pour obtenir la justice et la transparence en terme de droit de vote au sens propre du terme. » Aujourd’hui, la répartition des quotas de vote donne aux seuls USA le droit de veto sur les choix de l’institution. Cette situation est désormais inacceptable, estime Zhou Shumu, chercheur adjoint du Centre d’échange économique international de Chine.
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