La bête est sortie. Elle a montré ses crocs. Mais comme dit le proverbe: le chien aboie, la caravane passe. La taxe sur les transactions financières devait être vertueuse. Elle était censée s’attaquer aux spéculateurs. Voire, selon les ONG qui l’ont défendue becs et ongles, alimenter directement les caisses de l’aide humanitaire. Il n’en sera rien.
via www.lecho.be
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