19 janvier 2012 11:21
« [l’]incapacité des pays européens à trouver des solutions viables n’est pas une nouveauté. La gestion de la crise, depuis l’automne 2009, a été en effet marquée par des solutions partielles et temporaires, des bricolages ad-hoc et des effets d’annonce de dégonflant rapidement. Avec une constance digne d’une meilleure cause on a toujours refusé de prendre au sérieux cette crise et de lui apporter les solutions qui s’imposent, soit une avancée vers le fédéralisme européen soit une dissolution ordonnée de la zone euro, » écrit Jacques Sapir, qui avertit que les échéances ne pourrant plus être repoussées bien longtemps.
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