Les travailleurs transfrontaliers ne sont pas des clients de banque comme les autres. Ils gagnent en moyenne moins que les résidents suisses, ils redoutent par-dessus tout les variations de taux de change et, surtout, leur compte courant ne reste pas rempli très longtemps. Car leur vie est ailleurs – en Allemagne, en Italie, surtout en France (52% des frontaliers en Suisse).
via www.letemps.ch
Commentaires