6 novembre 2007 17:32
Les dépréciations d’actifs enregistrées aujourd’hui sont considérables
- plusieurs dizaines de milliards de dollars - mais représentent peu de
chose par rapport aux 1 700 milliards de titres en circulation
potentiellement contaminés par les subprimes. Les banques, qui tentent
de retarder l’heure de solder les pertes, devraient pourtant être
contraintes de pratiquer la vérité des prix. Une nouvelle
réglementation les oblige à faire le ménage dans les valorisations
théoriques qu’elles persistent à utiliser.
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