12 novembre 2008 17:39
Venant après le syndrome du « too big to fail », trop gros pour être
laissé choir, qui a sauvé la mise de Bear Stearns et sauvera peut-être
General Motors, la crise Islandaise a révélé l’existence du « too big
to save ». La taille des livres de compte des banques de Reykjavik
excédait - et de loin - les possibilités de la garantie de l’Etat, qui
a été englouti dans la faillite de son secteur financier. La Suisse
pourrait-elle être à son tour victime de ces mastodontes de la finance
qui faisaient sa fierté ?
Publication originale Portfolio, traduction Contre Info
Commentaires