headgold AVERTISSEMENT 25/06/2007 avertissement Les informations et mes analyses non professionnelles ne constituent qu'une aide possible a la décision. Ces informations ne sont en aucun cas une incitation a vendre ou a acheter l'une des valeurs citées ici. La responsabilité de toutes interventions sur les marchés relève de la seule décision des lecteurs qui en assumeront tous les risques. Il est vivement recommandé, pour les personnes non initiés aux marchés, d'examiner l'avis de professionnels avant d'investir directement par ses propres moyens ( courtier en ligne. etc etc) Cordialement Headgold
C’était à nouveau l’effervescence vendredi dans le dossier Fortis. Sauf
surprise de dernière minute, la lettre ouverte signée par quelques
grands noms en faveur du plan alternatif défendu par Me Modrikamen et
Deminor, notamment, ne verra jamais le jour. La raison ? Toutes les
personnes concernées
Le P-DG de Fortis Holding, Karel De Boeck, se déclare confiant dans un
vote favorable des actionnaires au rachat du groupe financier par le
français BNP...
Exclusif
Albert Frère, l'un des patrons les plus emblématique du monde
économique belge, se dit « en faveur » de la cession de Fortis Banque à
BNP Paribas. « La Belgique a besoin de banques fortes », affirme-t-il
dans une déclaration faite au Soir.
Le FMI, qui vient de réviser à 4100 milliards de dollars son estimation du total des pertes du secteur financier, publie ses dernières recommandations. Rappelant qu’il « faut plusieurs années pour remettre le système bancaire d’aplomb, » il enjoint les gouvernements à prendre rapidement les mesures qui s’imposent selon lui pour assainir le secteur, condition préalable à un retour à la normale de l’activité économique : évaluation des pertes, recapitalisations, garanties, prises de contrôles. Quelle serait la facture pour la zone euro ? 725 milliards, si l’on veut ramener la capitalisation à 6% des actifs - une paille. Comme la plupart des observateurs, les analystes du FMI insistent sur le risque associé à l’Europe de l’est : « les craintes que suscitent le refinancement des dettes arrivant à échéance et la persistance du financement extérieur des déficits courants dans les pays émergents d’Europe appellent des mesures concrètes. » En résumé, le travail de remise en ordre n’est qu’à peine entamé, et le plus lourd des pertes reste encore à venir. « Lorsque les politiques ne sont pas claires, qu’elles ne sont pas exécutées avec conviction et rapidité, ou qu’elles ne s’attaquent pas aux problèmes sous-jacents, la reprise est plus laborieuse et ses coûts - tant pour le contribuable que pour l’économie - sont plus lourds, » avertit le FMI. Les budgets considérables mobilisés pour réparer les dégâts créés par la finance vont à coup sûr plomber les comptabilités publiques pour plusieurs années, et la facture ne tardera pas à être présentée : « si les plans de relance tolèrent le non respect des objectifs budgétaires, ils doivent être accompagnés de cadres budgétaires crédibles à moyen terme afin de réduire les déficits et les niveaux d’endettement, faute de quoi la solvabilité de l’État peut être mise en doute. » Nous voilà prévenus.
marchés financiers du monde un lien direct vers de nombreuses places financières de la planète.Remerciements a E.Csakvary Quebec
auteur des liens " les bourses du monde "