Les marchés financiers suivent avec la plus grande attention les soubresauts du débat politique sur la dette américaine, mais semblent refuser de croire à un défaut de paiement susceptible de déclencher la panique, s'inquiétant plus des conséquences économiques. C'est pourtant la crainte d'une réaction brutale des marchés mondiaux à l'ouverture des échanges lundi qui est désormais l'argument brandi pour faire avancer le dossier et garder les responsables politiques au travail tout le week-end.
via www.lepoint.fr
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