Certaines banques européennes ne survivraient pas si elles devaient réévaluer la dette souveraine de leurs comptes au prix du marché, a déclaré lundi le président du directoire de la Deutsche Bank, Josef Ackermann. Il a ajouté que la volatilité des marchés demeurerait aussi longtemps qu'il y aurait de l'incertitude quant aux mesures de réduction de la dette et il a confirmé en outre qu'il restait opposé à toute idée d'émettre des euro-obligations pour résoudre la question de la dette.
via www.lecho.be
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