En Suisse, on l'appelle déjà «l'affaire Hildebrand». Selon l'hebdomadaire alémaniqueWeltwoche, le président de la Banque Nationale Suisse (BNS) aurait profité du franc fort pour acheter des devises entre mars et octobre 2011, alors que l'institution qu'il préside était sur le point d'établir un taux plancher de 1,20 franc suisse pour un euro. Si les faits s'avèrent exacts, Philipp Hildebrand pourrait être contraint de quitter ses fonctions pour cause de «délit d'initié».
via www.lefigaro.fr
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