oursier.com) — Le fonds 'Centifolia' de DNCA Finance investit principalement sur des actions françaises dans une logique de type "value". Centifolia s'apprécie de 5,95% sur le mois de novembre, soit une performance de 7,74% depuis le début de l'année, à comparer à 4,32% pour le CAC40 net return. La politique d'investissement vise toujours à renforcer les titres jugés les plus décotés, les positions Alstom, Cegedim,CGG, Ipsos et Solocal Group ont été complétées. En revanche, Centifolia s'est allégé sur les télécoms (Bouygues et Orange), sur Bic, sur Casino et sur Crédit Agricole. Après le beau parcours du titre Ipsen, le fonds a pris ses bénéfices sur cette position qui restait marginale au sein du portefeuille. Au total, le fonds a porté son niveau d'exposition aux actions à plus de 98%. Ce matin à 11h17 (Boursier.com) —
Le fonds 'Gallica', de DNCA Finance, investit dans les grandes valeurs françaises. Ce fonds éligible au PEA est géré de façon opportuniste. Il est investi sur les plus fortes convictions des gérants au sein du marché français. Pleinement investi (minimum 90% en actions), il est géré de façon à avoir une allocation sectorielle flexible en s'interdisant toutefois de faire des paris extrêmes. Au cours du mois de novembre, Gallica a renforcé sa pondération sur Teleperformance, Solocal, TF1, CGG, et quelques petites capitalisations (Serge Ferrrari, Somfy,Clasquin). Les titres Fnac, Ingenico, Vivendi et Orange ont été allégés en raison de bonnes performances. Le ratio d'investissement atteint 94.8% (vs 97.3% fin septembre) à la suite de plusieurs mouvements de souscription. Gallica affiche un rendement net moyen 2014 de 2.3% pour un P/E 2015 de 14.5x et une croissance des bénéfices en 2015 de 37.7%. Depuis le début de l'année, Gallica affiche une hausse de +7.30% contre +4.96% pour le SBF 120 dividendes réinvestis. Sur le mois de novembre, le fonds affiche une performance relative de +305 pb. En termes de perspectives, les gérants du fonds estiment "qu'après des publications de résultats plutôt robustes pour le troisième trimestre, le dernier trimestre de l'année ne devrait pas réserver des mauvaises surprises. Pour la première fois depuis 2011, l'année 2015 pourrait démarrer sur des estimations bénéficiaires jugées solides et confortées par une reprise économique dont les conditions paraissent aujourd'hui réunies." Laurence Vallet — ©2014, Boursier.com
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