« Apple, la tyrannie du cool |
Accueil
| La dette publique franchit les 2.000 milliards d'euros - 20minutes.fr »
(lerevenu.com) - Selon Graham Secker de Morgan Stanley, la Banque centrale européenne a acheté du temps pour permettre à la reprise économique de mieux s’affirmer. La banque d’affaires a réduit ses prévisions de bénéfice net par action pour tenir compte d’une conjoncture encore dégradée, mais elle a augmenté son anticipation de PER (cours rapporté au bénéfice net par action estimé à douze mois) pour intégrer la politique plus agressive de l’institution monétaire. Toutefois, le renchérissement du crédit attendu aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne devrait limiter l’expansion des PER à moyen terme. Et une reprise de l’inflation outre-Atlantique fragiliserait les actions américaines. Mais
via www.boursorama.com
L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.
Commentaires